En 674 le calife Mouraïra met le siège devant Constantinople.
C'est
alors
qu'un
Syrien,
Callinicus,
profite
de
l'occasion
pour
offrir
ses
services à l'empereur byzantin en lui proposant un ''feu'' miraculeux.
Il
s'agissait
d'un
mélange
de
naphte,
de
goudron,
de
soufre,
de
résine
et
de
salpêtre.
C'était l'ancêtre du napalm moderne.
Le
feu
grégeois
a
permis
à
la
marine
byzantine
de
remporter
des
victoires
notables
et
notamment
de
pouvoir
résister
aux
Arabes
de
la
fin
du
VIIe
siècle à la moitié du VIIIe.
Le feu grégeois s'est perdu au profit de la poudre à canon.
Mélange
particulièrement
inflammable,
il
possédait
la
propriété
stupéfiante
de brûler même au contact de l'eau.
Les Grecs l'appelaient le feu "liquide" ou "maritime".